Les pâtes, il y a pour tous les goûts ! On en trouve avec des temps de cuisson plus ou moins longs, avec des textures et des formes différentes. Et après ajout d’une préparation de notre choix et dégustation, on est théoriquement rassasié par ce plat simple mais toujours unique. Pour les formats de contenu, c’est (étonnamment) la même chose.
Faire du contenu, c’est sympa. Ça a l’air d’être simple et rapide. Encore faut-il savoir choisir ce qui est le plus adapté en fonction de la situation, du temps disponible, de l’envie, et des besoins. Petite liste non exhaustive des formats les plus courants (de contenus ! Pour les pâtes, on vous laisse juger).
La penne : l’article de blog classique
Pas besoin de vous faire un dessin. En règle générale, c’est à ce format de contenu que vous penserez en premier : un article de 1 à 2 feuillets, qui s’adapte à tout, dans lequel vous exprimez vos idées, projets, produits, histoire… Il vous permet de démontrer une expertise, et donc de donner confiance à vos clients et prospects, tout en étant bénéfique pour votre référencement.
Les coquillettes : le « snack content »
Très court et très vite consommé, le snack content peut raconter beaucoup : anecdotes, chiffres-clés, informations brutes… Peu importe, tant que le contenu ne dépasse pas les quelques lignes. Il a été très tendance pendant un moment, notamment parce qu’il est particulièrement bien adapté aux formats des différents réseaux sociaux. Aujourd’hui, les évolutions des critères de référencement de Google, qui privilégient notamment les contenus longs, ont détrôné ce type de format. Cela ne veut pas dire qu’il ne faut plus en proposer à vos lecteurs. Comme souvent, c’est le mélange de plusieurs formats de contenus, au service d’une stratégie éditoriale adaptée à vos cibles, qui importera.
Les tagliatelles : le long read
Le long read est un format de contenu beaucoup plus long, de plusieurs feuillets, qui permet de traiter un sujet en profondeur. Proposer ce format va souvent à l’encontre des idées reçues sur la consommation de contenu en ligne. Pourtant, le long est non seulement récompensé par Google (donc bénéfique pour votre référencement) mais aussi plébiscité par les lecteurs qui recherchent des informations détaillées ! Avec le long read, attention à la qualité du contenu que vous proposerez, c’est elle qui est attendue au tournant.
Le spaghetti : le livre blanc
De quelques pages à beaucoup plus, le livre blanc permet de se positionner comme expert dans votre secteur d’activité, de faire de la pédagogie, de mixer témoignages, interviews… Sur le fond, il se rapproche du contenu riche du long read. Gros avantage : comme il s’agit d’un format à télécharger, vous récupérez grâce à lui les adresses e-mail des personnes intéressées (via une landing page dédiée et un formulaire de téléchargement).
Les lasagnes : le case study
Ce format-ci montre que vous avez mis la main à la pâte. Le case study, c’est l’étude d’un cas client. Avec lui, vous gagnez la confiance des prospects en leur montrant vos expertises et vos réalisations. Pour être réussi, il doit être concret, présenter des chiffres, exposer les problématiques du client, le contexte, l’état des lieux et les résultats après action. Via le case study, vous montrez à vos clients et prospects que vous méritez leur confiance. Une notion essentielle dans les décisions d’achat si l’on en croit une étude réalisée par PwC.
Le cannelloni : la newsletter
La newsletter s’adapte à toutes les envies. Longue ou courte, experte ou non, hebdomadaire, mensuelle ou ponctuelle, à vous de voir ce que vous souhaitez en faire. Et à ceux qui la pensent finie, détrompez-vous, elle a le vent en poupe !
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